" Dzogchen et Zen " est le titre d’un opuscule du tibétain Namkaï Norbu. L’auteur n’apporte pas de réponse claire sur les similitudes entre Zen et Dzogchen. Il reconnaît que l’enseignement Dzogchen est semblable à celui du bouddhisme Ch’an au sujet de l’identification de l’essence de l’esprit. L’auteur ne nous épargne pas ses dithyrambes habituels sur la supériorité du Dzogchen.
Une méthode dzogchen nommée " thögal " accorde une importance primordiale à l’auto-libération de l’énergie et à la contemplation de " photismes " diurnes et nocturnes. Les dzogchenpa débutants pressent leurs yeux avec les doigts et les lumières qui apparaissent sont l’objet de leur contemplation.
Le docteur LEFEBURE, initié par un mage zoroastrien, utilisait les phosphènes comme accélérateurs des processus mentaux. Il aurait même inventé une machine à faire monter la kundalini. Les lamas rinpochés les plus en vue risquent-ils de se retrouver sur la paille à cause de la machine du docteur LEFEBURE, plusieurs fois lauréat du concours LEPINE. Les inventions de l'ingénieux docteur français ont été testées au laboratoire central des P.T.T., l’autre gloire française des postiers et des timbrés. http://www.phosphenisme.com/fondateur.html
Les phosphènes associés à la méditation sont connus depuis des siècles. Le " Boshan Canchan Jingce ", un vieux manuel Ch’an dit : " Si vous voyez des lumières, des fleurs ou d’autres formes extraordinaires, et que vous prenez cela pour de la sainteté, usant de ces phénomènes inhabituels pour éblouir les gens, certain que vous avez atteint le grand éveil, c’est que vous ne vous rendez pas compte que vous êtes complètement malade."
Certains phosphènes sont provoqués par des maladies de la rétine. Si votre vision est sérieusement perturbée par des phosphènes ne vous confiez pas à un lama ignare, il est plus prudent de prendre rendez-vous avec un ophtalmologiste.